Guynemer, un as pour parrain (page 2/21)
Des ailes et des hommes

 

 

 

 

A carrière l’Evêque (Oise), le 19 juillet 1915.

 

Georges Guynemer (20 ans) et Charles Guerder (22 ans), son mécanicien - mitrailleur, peu après leur première victoire (leur avion est touché et Guerder est légèrement blessé à la main droite).

 

A l’extrême - droite : Jules Védrines

A gauche : le commandant Bourgeat

Au centre : le colonel Maillard qui leur dit : « Allons, il n’y a encore que les enfants pour savoir faire la guerre ».

 

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 



 

 

 

« La bande noire » : de gauche à droite, Lieutenant Heurtaux, Sous-lieutenant Guynemer, Lieutenant de la Tour

 

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon



 

 

 

Georges Guynemer à bord d’un biplan Voisin, avion de bombardement, en compagnie de ses camarades Alfred Heurtaux et Albert Deullin.

 

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

 

 

Le sous-lieutenant Guynemer devant son SPAD (SPAD VII), en octobre 1916.


 

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

 

 

 

L’un des trois avions Roland abattus par Guynemer à Hoeville le jour où il fut lui-même descendu par un obus antiaérien français tiré par méprise (16 mars 1917).


 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

Le 23 janvier 1917, après avoir abattu son 26e ennemi et étant lui-même à bout de munitions, Georges Guynemer manœuvra contre un Albatros qu’il contraignit à atterrir dans les lignes françaises sans avoir tiré lui-même une seule cartouche, son arme étant enrayée. A sa descente d’avion, il s’entretient avec « ses » prisonniers.

 

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

 

Nieuport XI


 

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

 

 

 

 

Guynemer et Guerder, son mécanicien tirailleur, le 19 juillet 1915, peu après leur première victoire.

 

 

Collection de la base aérienne 102 de Dijon

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